LES POINTS FORTS

• Cerises sucrées, bien rouges et extra croquantes
• 100 % belges
• Sans traitement après récolte
• Production respectueuse de l’environnement

Disponibles de juin à juillet, selon les aléas de la météo.

C’est grâce aux terres limoneuses de la Hesbaye et du Condroz et au climat de ces régions que les cerises Filière Qualité Carrefour offrent une qualité supérieure et comblent tous les gourmands.

La culture de la cerise, chez les Gielen, c’est une histoire de famille. « On parle cerise 365 jours par an », rigole Geoffrey Gielen, l’un des deux frères à s’occuper aujourd’hui des 86 hectares de cultures belges de la Royal Fruit Company. Geoffrey et son frère Raf sont en effet la quatrième génération de la famille à travailler dans la cerise. Installés à Saint-Trond, ils cultivent ces petites rondeurs sucrées sur la terre limoneuse de Hesbaye et du Condroz et profitent du climat belge typique qui permet à la cerise de se développer à son rythme sans être forcée.

C’est en effet grâce au sol particulier de cette région qu’elle acquiert son bon goût rond et sucré. Cependant, la météo belge est parfois capricieuse. Les cerises étant sensibles à la pluie, aux tempêtes et à la grêle, 80 % des vergers belges ont donc été recouverts de capes de protection. « Nous n’avons pas besoin d’irrigation supplémentaire car la pluie tombe entre les rangées de capes, explique Geoffrey. Et il y a assez d’espace entre les bâches pour laisser passer la lumière et assurer ce bon goût sucré. Les 20 % de vergers restant sont dédiés à une nouvelle variété de cerises tardives. Ces arbres sont encore jeunes mais dans 2 ou 3 ans, ils vont nous permettre d’étendre la saison jusque mi-septembre. »

Au fil des saisons

La culture de la cerise demande du temps. Beaucoup de temps. Les cerisiers ne commencent en effet à produire des fruits que 5 à 7 ans après avoir été plantés.

Après un long repos en hiver, les cerisiers commencent à fleurir en avril. « On installe alors les abeilles pour la pollinisation et on surveille les arbres et l’apparition éventuelle de maladies, explique Geoffrey. Fin juin, la récolte peut commencer. » Et pendant 2 mois, 150 cueilleurs, armés d’échelles et de bottes, récoltent les fruits à la main. « Tous ont été formés à la manière de cueillir sans abîmer ni les fruits ni les arbres, explique Geoffrey. Ils effectuent en outre un premier triage en ne cueillant que les cerises de la bonne couleur.

Un indicatif simple qui permet de juger de la maturité d’un fruit. Moins de 30 minutes après la cueillette, les cerises passent dans l’hydrocooling, une douche d’eau froide (à 1 ou 2 °C) qui dure 4 à 5 minutes. C’est une étape très importante pour les cerises. Ca permet de stopper le mûrissement et surtout de faire en sorte que le pédoncule reste bien ferme et vert. Plus vite elles sont refroidies, plus longtemps sera leur conservation. » Durant la récolte, les arbres ne sont pas traités : pas de pesticides, ni de fertilisants. Et depuis que des capes de protection ont été installées, la récolte est assurée : environ 15 tonnes par hectare, selon les années.

Un emballage à la main

Les cerises sont ensuite triées et calibrées par une machine qui, avec des centaines de photos à la minute et des infrarouges, peut savoir si un fruit est pourri ou pas, sa taille et sa couleur. Les cerises sont ensuite encore une fois contrôlées par des travailleurs à l’œil expert puis emballées à la main avant d’être expédiées au centre de distribution de Carrefour. « A peine 24 h après la cueillette, les cerises sont chez Carrefour, explique Raf Gielen.

Nous cueillons régulièrement pour proposer des produits ultra frais. En outre, nous respectons un cahier des charges très stricte et effectuons des contrôles à tous les niveaux, tous les jours. Le résultat ? Une cerise de très haute qualité, riche en goût et qui peut, placée dans le bac à fruits et légumes de votre réfrigérateur, se garder jusqu’à deux semaines. »

Une entreprise innovante et durable

Raf et Geoffrey tentent également toujours d’innover. « On cherche sans cesse à améliorer encore la qualité de nos fruits pour toujours proposer des cerises de la plus haute qualité, explique Geoffrey. Pour cela, nous voyageons beaucoup. Nous voulons trouver les meilleurs cerisiers. Ceux qui sont les plus adaptés à notre climat et qui donnent les meilleures cerises. Nous tentons également sans cesse de trouver de nouvelles techniques, tout en respectant l’environnement. Et c’est tous les jours un défi car notre patron reste la nature. »

Ainsi, les déchets organiques sont rapidement ramassés pour éviter que les insectes ne pondent dans les fruits tombés et ne contaminent

les parcelles. L’entreprise n’utilise pas d’herbicides, ni de produits fertilisants lors du développement des fruits et de la récolte et aucun traitement n’est fait après la récolte. Des panneaux photovoltaïques, des rideaux au frigo pour éviter une déperdition de froid et l’utilisation de lampes LED ou de basse consommation permettent des économies d’énergie. Et un projet pilote met en valeur la culture semi-biologique.

Bon à savoir

Durant la récolte, un échantillon de fruits est prélevé tous les jours et ce pour contrôler le taux de sucre et ainsi proposer des cerises toujours bien sucrées.

Les cerises Filière Qualité Carrefour sont :

• charnues et fermes, d’un beau rouge foncé et bien sucrées
• 100 % belges
• cultivées dans les régions fertiles de Hesbaye et du Condroz
• récoltées de fin juin à mi-août
• méthodes alternatives aux pesticides

Une collaboration fructueuse

Depuis 7 ans, Carrefour collabore avec les frères Gielen. Le placement de capes de protection sur 80 % des vergers belges a permis de lancer les cerises Filière Qualité Carrefour, 100 % belges, de très haute qualité à un prix respectueux pour le producteur et le consommateur. Le label Filière Qualité Carrefour permet de tisser avec les producteurs locaux des liens de respect, d’encouragement et de loyauté et promeut les produits de notre terroir.