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On vous explique l'acte 13 en vidéo
Mike Krantz nous confirme que « Le poulet d’Antan ne reçoit aucun traitement antibiotique systématique. Avant deux semaines de vie, il peut arriver que le vétérinaire décide de traiter certains animaux de façon ponctuelle mais cela n’a lieu que dans moins de 10% des cas en moyenne. Après deux semaines de vie, si le poulet doit recevoir un traitement antibiotique, même ponctuel, il est déclassé et ne peut plus porter le label ‘poulet d’Antan'. »
« En Belgique, nous précise Mike Krantz, un arrêté royal oblige les éleveurs à enregistrer tout usage d’antibiotiques sur les poulets. C’est l’Agence Fédérale des Médicaments et des Produits de Santé (AFMPS) qui contrôle cet enregistrement. On peut ainsi mesurer le taux d’exposition aux antibiotiques des animaux. Entre 2011 et 2017, ce taux a baissé de 25,9% en Belgique. Le poulet d’Antan Filière Qualité Carrefour fait de plus l’objet de contrôles supplémentaires par un organisme indépendant. »
Pour Mike Krantz « Les bonnes conditions d’élevage sont le premier gage d’une bonne santé des animaux. Le poulet d’Antan bénéficie d’un espace de vie suffisant (16 poulets au mètre carré), d’un parcours extérieur avec des zones arborées, d’une lumière et d’une ventilation naturelles. Les vaccins obligatoires sont complétés par une vaccination spécifique. L’alimentation des poulets est également enrichie en huiles essentielles afin d’éliminer les parasites. »
« Et bien, rien... L’administration ou non d’antibiotiques n’a aucune influence sur le goût. Avec le poulet d’Antan vous avez la certitude d’avoir un poulet qui goûte bon le poulet et qui en plus est sain. » conclut Mike Krantz.
« En assurant de meilleures conditions d’élevage et en utilisant des méthodes alternatives contre les bactéries, on peut mettre fin à l’usage systématique des antibiotiques. Le poulet d’Antan Filière Qualité Carrefour en est la preuve et est effectivement élevé sans aucun traitement antibiotique après deux semaines de vie. »